À travers la technique utilisée pour l’écriture d’icônes, Janel Fluri présente ses oeuvres issues d’un voyage dans le désert du Sinaï, en Palestine et en Israël. Scènes de vie, portraits, paysages, instants éphémères, elle les a gravés sur le bois, peints d’or et de bleu vif. Comme le sable dans les chaussures, on ne se débarrasse jamais des moments précieux du voyage.
Galerie Paul-Bovée du 3 mai au 16 juin 2024
C’est inéluctable, quand on fait quelques pas dans le désert, il restera toujours des grains de sable dans les chaussures, dans les chaussettes… sous les semelles. Alors, quand on passe plusieurs jours à travers le Sinaï. Entre monts et dunes, wadis et canyons, imaginez ce que Janel Fluri a ramené dans ses carnets de dessins.
Du sable, elle en a pris plein les yeux et ce qui la démange encore, elle a voulu le peindre: des instants, des visages, des corps et des troncs, des roches et des villes… des villages et des camps aussi. La vie dans l’aride. La force dans le silence.
Couleur nuit-d’étoiles, sang-de-mûres, bleu-ciel ou rose-roche, Janel a vu de l’or dans cette richesse, dans cette quête en soi d’un trésor éternel.
Elle a peint, dans la lenteur de la technique utilisée pour l’écriture d’icônes, toutes ces formes et ces âmes sculptées par le vent et le soleil, statues et vies sous une chape d’or.
Du sable, elle en a pris plein les yeux et ce qui la démange encore, elle a voulu le peindre: des instants, des visages, des corps et des troncs, des roches et des villes… des villages et des camps aussi. La vie dans l’aride. La force dans le silence.
Couleur nuit-d’étoiles, sang-de-mûres, bleu-ciel ou rose-roche, Janel a vu de l’or dans cette richesse, dans cette quête en soi d’un trésor éternel.
Elle a peint, dans la lenteur de la technique utilisée pour l’écriture d’icônes, toutes ces formes et ces âmes sculptées par le vent et le soleil, statues et vies sous une chape d’or.